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En vieillissant, nous devenons plus sensibles au froid. Cela est dû à des changements du métabolisme et à la diminution de la capacité de l’organisme à s’adapter au froid. Mais cela peut être aussi dû à certains comportements de vie comme une mauvaise alimentation, une déshydratation ou même la prise de certains médicaments. 

Les maladies chroniques qui peuvent affecter la capacité de la personne âgée à conserver la chaleur 

Certaines maladies chroniques comme la thyroïde, les anémies ou encore le diabète peuvent affecter la capacité à conserver la chaleur. En effet, ces maladies entraînent des baisses de la circulation sanguine, des réductions de la masse musculaire et/ou une diminution d'hormones dû à leurs impacts sur le système immunitaire ou à leurs traitements. Ses facteurs ont un impact sur la régulation de la température corporelle notamment chez les personnes âgées en perte d’autonomie. 

 
Les effets secondaires des médicaments qui peuvent affecter la thermorégulation 

Les effets secondaires de certains médicaments ont une influence dans la thermorégulation chez les personnes âgées en perte d’autonomie. Les effets secondaires qui peuvent être causés sont :

• Une transpiration excessive 
• Une perte de fluide 
• Une déshydratation 
• Une fièvre 

Ses facteurs qui perturbent la thermorégulation. Il est important de consulter un médecin lors de l’apparition de l’un de ces effets secondaires chez les personnes âgées en perte d’autonomie. 

La diminution de la masse musculaire et la perte de graisse sous-cutanée qui peut diminuer la capacité à conserver la chaleur 

La perte de masse musculaire et de graisse peut entraîner une réduction de la capacité à conserver la chaleur. En effet, les graisses permettent le maintien de la température corporelle en jouant le rôle d’une couche isolante et les muscles quant a eu aide à produire de la chaleur en brûlant des calories. Il est donc important de maintenir une activité physique et régulière, notamment chez les personnes âgées en perte d’autonomie. 

La malnutrition peut entraîner une faible résistance au froid 

La malnutrition peut entraîner une faible résistance au froid. En effet, les carences en nutriment comme les protéines, les vitamines et les minéraux qui sont nécessaires pour notre synthèse immunitaire entraîne une diminution à la résistance au froid. De plus, une faible résistance au froid augmente le risque d’infection. Il est alors important d’avoir un régime alimentaire équilibré et adapté à ses besoins chez les personnes âgées en perte d’autonomie. 

La diminution de la circulation sanguine peut rendre les extrémités plus froides 

La réduction de la circulation sanguine peut entraîner une diminution de la température des extrémités, ce qui peut les rendre plus froides. Des facteurs tels que le vieillissement, une mauvaise circulation sanguine ou des conditions médicales telles que l'athérosclérose sont les causes. 

Il existe plusieurs façons pour augmenter la circulation sanguine comme pratiquer une activité physique et régulière, une bonne alimentation mais aussi éviter le tabac car fumer rétrécit les vaisseaux sanguins et dormir suffisamment, puisque le sommeil régule la pression artérielle. 

En conclusion, les séniors et les personnes âgées en perte d’autonomie ont tendance à avoir plus souvent froid en raison de plusieurs facteurs. Cela peut être dû à des maladies chroniques, des changements hormonaux, les effets secondaires des médicaments, à une diminution de masse musculaire, à une malnutrition et à une diminution de la circulation sanguine. 

Les sociétés d’aide à domicile comme Click&Care accompagnent au quotidien les personnes en situation de dépendance pour leur permettre de rester chez elles le plus longtemps possible. Ces auxiliaires de vie aideront le bénéficiaire pour les actes de tous les jours : toilette, aide au lever ou au coucher, courses, préparation et prise des repas, aide aux déplacements afin de garantir une qualité de vie optimale. 

Il est important de consulter un médecin pour évaluer les causes possibles de la sensation de froid chez nos ainés, et élaborer un plan de traitement approprié surtout chez les personnes âgées en perte d’autonomie